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Turn off your Tv and put a record on

23 février 2007

► The Infadels - Love like semtex

INFADELS


Crawl out my eyes and I
Feeling the sound and I
Get my feet,get my wrists
off the ground and I
Needed to say nothing
No more to give to ya
no more to tell ya
You curl up the blood in me


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22 février 2007

♪ The Dresden Dolls

dresdendolls_124   

Bouffée d'oxygène musicale ...


    The Dresden Dolls ... Amanda Palmer et Brian Viglione ... Ces poupées de Dresde nous arrivent tout droit de Boston. Formé en 2001, ce groupe possède déjà l'étoffe et la profondeur que beaucoup d'autres recherchent durant de longues années sans jamais en trouver une miette. Car The Dresden Dolls, c'est avant tout un univers complétement déjanté servi par un rock ahurissant lorgnant du côté du punk et de beaucoup d'autres genres. L'originalité et la force de ses deux membres font de ce groupe un véritable petit ovni audio et visuel à l'univers foisonnant, festif et éclectique.

    La voix d'Amanda, puissante et magnifiquement polymorphe, le jeu de batterie, épuré mais enflammé de Brian, ainsi que les paroles réellement travaillées de leurs albums constituent la base d'un groupe qui se veut énergique, polyvalent et unique. Se réclamant du brechtian punk cabaret, les deux comparses assurent un spectacle continu et riche en couleurs, tels de vrais mimes aux maquillages de pierrots tristes et aux collants rayés.


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     Les Dresden Dolls ont su se créer une identité musicale et visuelle unique ( humm... ça fait pas un peu trop M6 ça ? ), délaissant la guitare pour le piano et la batterie, et contribuant à offrir à ceux qui s'en sentent, une réelle claque qui vous fait revoir à la hausse certaines définition préconçues du mot "artiste". Et ça, ça fait vraiment du bien.


Bon et plus concrètement ...

    Vous pouvez aller écouter quelques uns de leurs délires musicaux sur leur myspace ( vraiment, ça sert ces bêtes là ... ) ou encore regarder cette petite vidéo qui illustre la chanson Coin-Operated-Boy de leur premier album éponyme. Assez déjanté. Forcément.




22 février 2007

► Yeah yeah Yeahs - Gold Lion

yeah_yeah_yeah


Gold lion's gonna tell me where the light is
Gold lion's gonna tell me where the light is
Take our hands out of control
Take our hands out of control 

21 février 2007

♫ Muse, 30 Oct. 2006, Toulouse

muse

Un pur délire mégalomaniaque ...

Can you see that I am needing, begging for so much more, than you could ever give ...


Le 30 Octobre 2006, au Zénith de Toulouse...

    Une des cinq dates très attendues de la tournée française d'un groupe britannique qu'il est aujourd'hui inutile de présenter. Autant dire qu'il aura fallu s'y prendre bien tôt pour réserver sa place, car Muse attire les foules et draine un nombre considérable de fans à chacune de ses apparitions. Que l'on aime ou pas la musicalité du trio, on ne peut que reconnaître sa grandeur et sa capacité scénique qui ne sont plus à démontrer.

Sans_titre_1    Cette première date française n'aura pas échappée à la règle, et pour cause. Dès les premières notes de Take A Bow, on se laisse volontairement emporter par le pur délire mégalomaniaque dont font preuve les trois comparses une fois sur scène. Le public est là, même si cela manque un peu d'entrain dans les gradins.

    La scénographie est spectaculaire : les jeux de lumières restent totalement en accord avec l'ambiance de l'album tandis que les images diffusées en background son tout simplement splendides notamment lors de la chanson Starlight.

    Matthew Bellamy assume son rôle de leader avec beaucoup de zèle, ce qui pourra en impressioner certains ou au contraire en énerver d'autres. Car Muse possède ce côté agaçant et froid des grands groupes de rock ultra médiatisés, conscients de leur succès.

    Un simple riff de guitare ou une pose de rock star de Bellamy suffisent à soulever les hourras et les applaudissements de la foule ce qui peut paraître légerement facile voire pathétique... Mais force est de reconnaître le brio avec lequel les trois compères interprétent et revendiquent leurs titres sur scènes, tandis que la voix de Matthew Bellamy reste impressionante de puissance, qu'on l'aime ou pas.

    La playlist reste cependant décevante et manquait cruellement de titres tels que Exo politics, Feeling Good ou Citizen Erased. Petite déception quant  à l'absence de folie ( pas celle des poses, non ... ) et de partage avec le public. Manquait l'étincelle, hormis sur les chansons des anciens albums. Plug in baby, Time is running out, Sunburn ou Muscle Museum sont de véritables tueries et un pur bonheur sur scène.

    Bilan mitigé donc à la sortie de ce concert. Bellamy a fourni son effort, le groupe s'est montré efficace et le public en aura eu plein les yeux. Dommage qu'il ne subsite après le concert que l'impression d'un groupe qui aura fait ce qu'il avait à faire en venant, ni plus ni moins. La satisfaction musicale et visuelle restent incroyables, mais manque le sourire niais et le coeur rempli du spectateur heureux.

Merci à microcuts.net pour ces photos.

21 octobre 2006

♫ Aldebert, 20 Oct. 2006, Toulouse

aldy

A écouter et à voir sans modération ...

Aldebert ? Du bonheur qui s'étale en sourires ravageurs et que l'on n'arrive plus à effacer. Et c'est tant mieux !

    Un concert d'Aldebert, c'est toujours quelque chose... Parce qu'Aldebert, c'est d'abord un ptit bonhomme sautillant, déjanté, attachant, à la plume extraordinaire et à l'énergie euphorisante. Parce qu'Aldebert c'est aussi Touf, la Chicane, Bitchon, la Grappe, le Shlag et autres musiciens fabuleux aux surnoms déjantés qui nous entraînent au coeur de la chanson française, la vraie, avec des textes affutés et une énergie euphorisante.Sans_titre_2   

    Aldebert à la Salle Nougaro de Toulouse... deux heures et quart trop vite passées à sourire comme des imbéciles heureux, à rire comme jamais aux blagues échangées et à chanter comme des moutons heureux de se faire tondre. La salle n'était pas vraiment pleine, mais faut dire aussi qu'elle était aménagée de façon bizarre. Enfin je ne me plaindrai pas étant donné que j'étais placée pile au premier rang - et oui ça sert d'arriver une demi-heure avant les autres - et bien entourée.

    On s'en est donc pris plein la figure, comme d'habitude, même si l'ambiance n'était pas tout à fait celle de la tournée précédente, le ptit bonhomme et sa troupe sont quand même parvenus à bien chauffer la salle aidés des chansons de l'Année du singe. Les morceaux des Paradis Disponibles passent très bien, notamment C'est comment là-haut, amoureuse, Des chatons dans un panier, et les magnifiques A petit feu et Mon père ce héros sans oublier .. Bon j'arrête sinon je vais tous les citer au final.

    Comme toujours, Aldebert nous a offert un spectacle dont on n'est pas sorti déçus, avec son lot de blagues, d'introductions farfelues, de petites histoires à l'emporte pièce entre les chansons, de sauts gigantesques, une guitare à la main... Avec sa bouille d'adulenfant ( presque grand ) heureux, proche de son public, il nous a communiqué sa bonne humeur et fait partager ses chansons sur les petits riens de la vie et ses grands moments aussi. Un vrai bonheur.

    Petit bémol peut-être quant à l'enchainement un peu tordu des chansons. Passer de la ritournelle gentillette aux riffs de guitares défoulatoires, ça peut faire bizarre..:D A voir aussi plus tard le décor et la mise en scène qui s'étoffera certainement au fil des concerts. Ben oui, faut leur laisser prendre leurs marques :) Mais même comme ça, le spectacle est déjà bien super.

 Merci à Swinging du forum d'Aldebert pour ces superbes photos.

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